Féminisé par sa propriétaire

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il y a 2 ans

Jeune étudiant en première année, je dus, comme de nombreux collègues chercher un logement en ville. Mes moyens ne me permettaient malheureusement pas de trouver un appartement à moi, je fus obligé de trouver une chambre chez l'habitant. Après avoir consulté la liste des propositions disponible au centre universitaire, je commençai à faire le tour des propriétaires. Je préférais orienter ma recherche vers les femmes seules, non pas pour en profiter, mais bien entendu pour m'assurer une plus grande autonomie, et surtout ne pas avoir à vivre à proximité d'un carcan familial externe.

Il faut dire qu'à cette époque, on trouvait encore de nombreux logements de ce type. Des femmes seules préféraient avoir un locataire à proximité, ce qui leur apportait une certaine sécurité. Généralement ces femmes donnaient la préférence aux filles, j'étais quand même décidé à tenter ma chance.

Je venais de quitter ma famille, et mes parents avaient consenti à m'aider pendant un an, charge pour moi d'aller au-delà. Nous étions restés sur cette position, comme solde de tout compte, comme le dit l'expression. Nous n'étions plus d'accord sur rien, je ne pouvais plus vivre avec eux, chaque rencontre se terminant par des portes claquées. Je devais donc reconstruire entièrement mon univers.

Après quelques visites infructueuses, je rencontrai Sophie, veuve sans e n f a n t me dit-elle, d'environ 30 ans d'un mari militaire m o r t quelques années auparavant. Elle avait alors 25 ans et n'avait jamais trouvé à refaire sa vie. Il lui avait laissé un bel appartement en centre ville. Elle vivait donc seule et ne travaillait pas réellement, mais suivait la bonne marche d'un magasin en ville dont elle avait donné la gérance à une autre personne. Ses revenus étaient constitués de la pension de l'armée, des revenus d'un immeuble, laissé également par lui, dont faisait partie ce commerce et d'un capital familial hérité de la ferme de ses parents dont elle était fille unique.

Pour elle, loger un étudiant tenait plus de la recherche d'une compagnie et de sécurité que d'une volonté d'engranger des revenus supplémentaires. Le loyer était faible couvrant juste les frais. Autant dire que j'étais très étonné que cette chambre soit encore libre.

Sophie dut comprendre mes doutes, car elle m'expliqua tout de suite qu'elle ne cherchait pas à tout prix un locataire, mais quelqu'un avec qui le courant " passait " et plutôt un garçon dans un souci de sécurité. Deux jeunes femmes étant plus facilement la proie de personnes mal intentionnées.

Bien entendu, Sophie ne ressemblait pas au portrait classique de la logeuse à cheveux gris habitant un appartement remplies de napperons en dentelles. Bien au contraire, je fis la connaissance d'une femme alerte, habillée à la mode, portant toujours des talons hauts, maquillée avec goût. Elle offrait une image de sophistication bourgeoise de bon aloi.

L'appartement de style ancien à hauts plafonds était immense, le mobilier présentait un mélange harmonieux de meubles de style et de meubles modernes. Une superbe installation de haute fidélité trônait dans le salon, je lui en fis le compliment.

  • Vous êtes connaisseur ?
  • Un peu.
  • C'est parfait, si vous le voulez, vous pourrez l'utiliser. Quel genre de musique écoutez-vous ?
  • Beaucoup de rock et de jazz, dans tous les styles sauf le métal.
  • Encore un rapprochement supplémentaire, exactement comme moi.

Elle me montra sa discothèque immense qui comportaient tous les classiques du genre et beaucoup de raretés difficilement trouvables en France en dehors de l'internet. Il se trouve que moi aussi je connaissais tout cela et avait les mêmes sources. Je jetai un coup d'œil à la bibliothèque, là aussi nous avions beaucoup de points communs. Fort heureusement, je n'étais pas tomber chez quelqu'un pour qui la littérature s'arrêtait à Guy Des Cars et Mary Higgins Clark, qu'elle n'avait pas bien entendu en rayonnage ! Devant tant de points communs, nous tombâmes vite d'accord.

  • Vous voyez ce que je voulais dire tout à l'heure, je préfère avoir la compagnie de quelqu'un avec qui j'ai des points communs, même si bien entendu, il n'est pas question de s'envahir mutuellement. Si vous le voulez, nous pourrons manger ensemble, il vous suffira de me le dire la veille pour que je prévoie en conséquence.

J'étais sous le charme. De plus, Sophie était ravissante, je me pris à regretter qu'elle soit ma propriétaire. Si je l'avais rencontrée dans d'autres circonstances... Ma chambre avait une entrée indépendante sur le palier, je pouvais utiliser toutes les commodités de l'appartement, j'avais même un téléphone mis gratuitement à disposition. Très rapidement, une complicité naturelle s'établit entre nous. Sophie ne m'envahissait pas, elle me laissait vivre ma vie.

Chapitre 2

En temps normal, j'allai parfois le week-end chez des amis très proches qui, connaissant ma situation familiale, m'avaient proposé de venir chez eux pendant les premiers mois de l'année universitaire. Un samedi après-midi où je restais en ville, elle me proposa de l'accompagner dans le centre où elle avait des courses à faire. N'ayant rien d'autre de prévu, j'acceptais. Cette décision allait bouleverser notre existence.

Tout de suite, assis à ses côtés dans sa voiture, je remarquais sa tenue presque sexy, un pull à cotes qui dégageait un belle paire de seins, une jupe au genou très légèrement fendue dégageant une jolie vision sur de fins collants noirs et des escarpins à talons. Je ne pus réprimer une érection, surtout qu'à un moment, elle s'adressa à moi en posant sa main sur mon genou pour attirer mon attention. Heureusement, je me calmai bien vite.

Je découvris un véritable tourbillon, allant d'une boutique à l'autre, ne se lassant pas et en plus disposant d'un pouvoir d'achat étonnant. Nous commençâmes par de l'utile pour équiper sa maison, puis en milieu d'après-midi nous nous arrêtâmes dans un salon de thé. Il lui arriva alors de gentiment poser sa main quelquefois sur la mienne, et même une fois, je sentis son genou contre le mien.

Il n'y avait aucune gêne dans son attitude, le plus gêné était moi, car j'avais encore réagis immédiatement et je redoutais qu'elle s'en aperçoive. Sophie tint absolument à me récompenser de ma patience et voulut m'offrir un pantalon, un pull, une chemise et des chaussures neuves dans un beau magasin du centre. J'acceptai avec réticence, mais c'était fait avec tellement de gentillesse qu'il était impossible d'y voir autre chose.

  • De toute façon, Laurent, vous avez mangez votre pain blanc, parce que maintenant c'est moi qui vais acheter des vêtements. Si vous voulez m'accompagner, cela ne me dérange pas, vous me donnerez votre avis, sinon on se donne rendez-vous tout à l'heure.

Je n'avais rien d'autre à faire, j'avais suffisamment de disponibilité dans la semaine pour m'occuper de mes propres centres d'intérêts, et j'avoue que mes réactions de l'après-midi m'incitaient à profiter de sa présence. Je me dis très égoïstement qu'il y avait là peut-être un moyen de lui prouver l'intérêt que je lui portais et l'attrait qu'elle exerçait sur moi. Après tout, cela n'est jamais innocent de dire à une femme qu'elle est bien habillée, qu'elle est jolie avec ce qu'elle porte. J'eus le droit à toute la panoplie des vêtements et chaussures.

Sophie m'accorda un peu de répit en allant fouiner dans une libraire et un disquaire à la recherche des dernières nouveautés. Il n'y avait pas d'arrêt à sa fièvre acheteuse. Je lui fis découvrir des auteurs et groupes de rock qu'elle ne connaissait pas, et inversement. Mais le plus surprenant fut quand Sophie insista, c'était la fin de cette après-midi épuisante, pour que j'aille avec elle dans un superbe magasin de lingerie féminine.

  • Allons, Laurent, vous n'avez jamais acheté de lingerie avec vos amies ?
  • Si, parfois, mais ce n'est pas la même chose avec vous !
  • Vous avez raison, je dois être plus sophistiquée qu'une jeune fille, et puis vous allez pouvoir en profiter, c'est toujours agréable pour un homme. Ne me dîtes pas que la lingerie vous laisse insensible voyons ?
  • Non bien sur, dis-je en rougissant, enfin si …

Devant ma confusion, Sophie se mit à rire gentiment, emportant par là même ma décision. Après tout, je ressentais pour cette femme une attirance de plus en plus grande. Heureusement pour moi, il n'y avait pas d'autre cliente dans le magasin !

Là ce fut profusion de dentelles et de frous-frous. Sophie me demandait mon avis sur chaque article. Inutile de décrire ma confusion lorsqu'il s'agissait de donner mon avis sur un soutien-gorge ou la forme de la culotte assortie ! C'est alors que Sophie demanda à voir les porte-jarretelles et guêpières, je ne savais plus où me mettre, d'autant plus que la vendeuse ne se formalisait absolument pas de ma présence.

  • Mademoiselle, je prendrais également quelques paires de bas noirs, et vous m'en donnerez une paire que je mettrai tout de suite car j'ai filé les miens tout à l'heure.

Et Sophie de montrer à la vendeuse une échelle sur sa cheville. Je ne savais plus où me cacher !

Sophie commença ses essayages, j'entendais les commentaires de la vendeuse qui l'aidait. J'avoue avoir envié celle-ci de manipuler toutes ces dentelles et de voir de si près leur effet sur Sophie. Lorsque ce fut fini, j'aperçus par inadvertance, par le rideau entrebâillé, Sophie rajuster un bas, puis enfiler un escarpin. Je crus presque entendre le crissement du nylon.

De retour chez elle, la soirée se passa normalement, nous dînâmes ensemble. Sophie ayant passé un jogging d'intérieur qui me fit presque oublier les frous-frous. Elle était toujours aussi jolie, elle aurais donner du charme à un sac de pommes de terre ! Je n'osais rien faire, et pourtant, de jour en jour, je m'apercevais du besoin que j'avais de sa présence. Et en plus, bien entendu, j'avais très envie d'elle.

Je me consolai comme je pouvais, car je voyais bien que de son côté il n'y avait aucune ambiguïté dans son attitude vis à vis de moi. J'avais la faiblesse de penser qu'elle me considérait plus comme un camarade que comme un locataire, mais sûrement pas comme un jeune homme dont on pouvait jouer en lui faisant du charme pour le plaisir. Nous reprîmes ensuite notre rythme de vie antérieur.

Chapitre 3

Un mois plus tard, je décidai de rester à nouveau pour le week-end, j'avais en effet du travail et je préférais le faire au calme le dimanche dans ma chambre. Le vendredi soir, Sophie me proposa gentiment de me laver mon linge, j'acceptai. Elle en profita pour me proposer de dîner avec elle. Le repas fut très agréable, malheureusement, alors que nous mangions notre dessert, je renversai un verre d'eau. Il se répandit sur la table, mouillant bien sur la nappe mais aussi mes vêtements. Ma chemise et mon pantalon étaient trempés.

  • Allons, ce n'est pas grave Laurent, nous allons éponger tout cela. Allez vous changer, je vais mettre vos vêtements à sécher.
  • C'est à dire que …
  • Ne me dîtes pas que vous n'avez pas de change, enfin !
  • Si mais …
  • Mais quoi ?
  • J'ai bien des pantalons et des chemises, mais je n'ai plus de …
  • De ?
  • De slip, comme un imbécile je n'ai pas réalisé que je vous avais tout donné à laver. Je ne peux quand même pas m'habiller sans mettre une culotte !
  • Aucun problème, je vais vous en prêter une.
  • Vous …
  • Oui, je vais vous prêter une de mes culottes, très sobre rassurez-vous ! Et vous allez mettre un peignoir en éponge, nous regarderons ensuite un bon film.
  • Mais, je ne vais pas porter une culotte de femme ! C'est très gênant, surtout si vous aussi l'avez déjà portée.
  • Mais non, ne faîtes pas de façons. Si je vous le propose, c'est que cela ne me gène pas.

Sophie m'amène alors dans sa chambre, ouvre un tiroir de sa commode révélant une montagne de culottes de toutes les matières et les couleurs.

  • Allez, choisissez-en une qui vous plait.
  • Je ne sais pas, je n'ai pas l'habitude…, je n'ai jamais porté une lingerie de femme.

Sophie trouve alors une culotte noire presque classique, avec juste une petite ceinture en dentelles.

  • Cela devrait aller. Changez-vous ici, voilà un peignoir. Vous m'apporterez ensuite vos vêtements pour que je les mette à sécher.

Je me déshabille, enfile cette petite chose noire si douce et légère et bien entendu j'ai une érection immédiate que le peignoir ne peut cacher.

  • Laurent, vous êtes prêt ? demande Sophie, je peux entrer ?
  • C'est à dire … Je n'ai pas le temps que Sophie entre dans la chambre, elle jette un coup d'œil.
  • Tout va bien ? Je rougis.
  • Oh, je crois comprendre, rit-elle, ne vous en faîtes pas pour moi, je suis pas une jeune fille innocente et je ne vais pas vous demander de vous montrer dans cette tenue !

Peu après, alors que nous regardions la télévision, mu par je ne sais quelle audace, je m'adressai à Sophie.

  • Excusez-moi, mais j'aimerais vous poser une question qui va sans doute vous choquer ou que vous allez trouver indiscrète, mais, depuis ce qui s'est passé et compte tenu de ce que je porte en ce moment, je ne peux m'en empêcher.

  • Allez-y Laurent, vous ne le savez pas encore mais il en faut, beaucoup pour me choquer.

  • Alors, voilà, cela concerne en fait la lingerie féminine.

  • Je vous écoute.

  • Et bien, je me suis souvent demandé si les femmes ressentaient quelque chose de particulier à porter des bas ou des collants.

  • Comment cela ?

  • Moi qui ne porte que des chaussettes et des pantalons, j'ai toujours été intrigué par ces vêtements qui couvrent la jambe en entier, comme pour emprisonner la peau.

  • Je vois. Les femmes, je ne sais pas, pour moi je sais. Mais pourquoi, cette question ?

  • Parce que cela me fascine, ils vous font de jolies jambes. Je suis toujours attiré par une femme qui porte des bas. Lorsque je croise une femme en jupe ou en robe, je regarde toujours ses jambes pour voir si elle porte des bas ou des collants. Alors que l'été, où vous n'en portez pas, je ne les regarde jamais. Pourquoi portez-vous ces articles alors que nous ne portons que des chaussettes ? Je sais que c'est lié aux robes et aux jupes qui découvrent les jambes, mais autrefois aussi les hommes portaient des bas. Et puis, ce sont des vêtements si différents des nôtres.

  • Je crois que l'on peut dire que c'est la même sensation que lorsque vous portez des collants pour les sports d'hiver, à cette différence prêt que le voile étant plus fin il apporte une légère douceur sur la peau.

  • Excusez-moi, mais je n'ai jamais porté de collants pour le ski, je n'y suis jamais allé. Votre comparaison n'évoque rien pour moi.

  • Ah bon ! Pour tout vous dire, Laurent, lorsque je porte des collants ou des bas, je ressens comme une caresse sur ma peau. Dès que je marche, j'ai l'impression que cela me chauffe un peu et m'enserre délicatement la cuisse et le mollet. Bien sur, les bas sont un peu différent, car ils sont attachés et on sent la tension en marchant. Et puis cela serre un peu comme une gaine sur la jambe, c'est d'ailleurs un peu fait pour cela. Mais, j'y pense, si vous n'avez jamais eu l'occasion, vous ne voulez pas essayer d'en porter ?

  • Des collants pour le ski ?

  • Mais non, je n'en ai pas non plus d'ailleurs. Des vrais collants de femme bien sur. J'ai tout ce qu'il faut ici si vous voulez, à moins que vous ne préfériez essayer des bas ? Non, mieux vaut des collants, pour une première fois, ce sera plus facile.

Qu'est-ce qui m'avait pris de lui parler de cela. J'avais honte et en même temps j'étais excité à l'idée de mettre des collants de femme. Je me sentais rougir devant cette femme si jolie qui parlait de tout cela devant moi avec un naturel qui me désarmait.

  • Je ne sais pas, ce n'est pas cela que … Enfin, pourquoi pas. En fait, je n'ose pas, j'ai un peu honte. Ce n'est pas fait pour les hommes quand même. Déjà que je porte une de vos culottes..
  • C'est vrai, c'est un peu bizarre ! Et en plus, vous ne vous en plaignez même pas !
  • Mais, c'est vous qui…
  • Je plaisante Laurent ! Alors, c'est oui ! Et puis, certes ce n'est pas un article d'hommes, mais je suis sure que si on proposait à bien des hommes d'en porter, ils apprécieraient. Je reviens.

Chapitre 4

J'eus à peine le temps de réfléchir qu'elle revenait. Elle tenait à la main une petite boule de tissu noir.

  • Voilà des collants en voile. Ils sont suffisamment extensibles pour que vous puissiez les mettre. Regardez comme c'est doux " Elle commence à caresser ma main avec puis, écartant légèrement le peignoir, ma cuisse.

  • Rendez-vous compte, cette douceur sur vos jambes quand vous allez marcher ! Laissez moi faire, il ne faut pas les abîmer, aussi je vais vous les mettre.

Elle prend le collant, et comme pour un bas ou une chaussette le remonte jusqu'au bout du pied, puis me demande de tendre la jambe et le pose sur mes orteils et là doucement le déroule jusqu'à mon genou, puis fait la même chose avec la deuxième jambe, me demande de me lever et enfile enfin le reste du collant sur mes cuisses et par-dessus la culotte, ne faisant même pas attention à la tension qui y réside.

  • Et voilà ! Allons vous voir dans la glace de la salle de bain ! Mais cela vous va à ravir, si, si, on dirait que c'est fait pour vous. Sentez comme vos jambes sont douces maintenant !

C'était vrai, et comme elle me l'avait dit. Je ressentais comme une chaleur à chaque pas et j'avais l'impression d'avoir la jambe gainée. J'appris peu après que le mot était utilisé ainsi. Les femmes parlaient de jambes gainées de noir. Ce qui me paraissait en fait le plus étrange était de me voir ainsi debout en peignoir avec des jambes noires, comme ces femmes qui attiraient mon regard dans la rue. Je compris alors pourquoi j'avais cette attirance. J'avais tout simplement envie d'en porter. La soirée se finit ainsi, comme si finalement tout cela était " normal ". Le lendemain matin, Sophie vint me voir.

  • Je suis désolée Laurent, mais la lessive n'est pas finie, donc vous n'avez toujours pas de rechange. Vous allez devoir reporter une de mes culottes !

Curieusement, cette fois, je ne me sentis pas gêné.

  • Je comprends, ne vous en faîtes pas. Et puis, je dois vous avouer, que ce n'était pas désagréable à porter, dis-je en rougissant. Et puis les collants, vraiment j'ai apprécié !

  • A la bonne heure ! dit-elle, et elle me tend alors une culotte beaucoup plus féminine que la précédente. Mettez donc celle-là, vous voulez encore porter un collant ou des bas. Il vaut mieux des collants, parce que je ne veux pas risquer que l'on voit une jarretelle à travers votre pantalon ou pire, un bas se dégrafer à cause du frottement. Je vais vous l'enfiler et si vous êtes sage, je vous apprendrai à les mettre vous-même.

Je ne dis rien, je la laisse m'enfiler un collant de couleur noir (" Ce sera plus discret sous un pantalon, on pourra les prendre pour des chaussettes fines "), puis je finis de m'habiller. Peu après, Sophie frappe à ma porte.

  • Laurent, comme gage pour la nappe d'hier et ma lingerie, je vous emmène avec moi faire mon shopping du samedi, nous partons dans dix minutes et je vous offre le déjeuner dans un restaurant dont vous me direz des nouvelles.

Alors quel effet cela fait un collant sous un pantalon ? C'est agréable n'est-ce pas ? Vous voyez, trop de femmes n'y voient que des vêtements, et c'est dommage, c'est agréable de se sentir bien dans ses vêtements. Dix minutes plus tard, je me présente au salon, Sophie n'y est pas mais elle m'appelle de sa chambre.

  • Je suis ici, venez me rejoindre.

Lorsque j'arrive, je la découvre en train d'attacher ses bas. Cette vision, en plus du contact de la dentelle et du voile sur ma peau fait plus que me troubler. Cherche-t-elle à me provoquer, contrairement à ce que je pensais d'elle ou alors le petit incident de la culotte a-t-il suffi à lui faire oublier son intimité vis à vis de moi.

  • Oh, excusez-moi Laurent, je ne veux pas vous choquer, je pensais que vous arriveriez moins rapidement, me dit-elle en rougissant un peu, et puis maintenant que vous portez mes culottes, nous sommes presque intimes, n'est ce pas?

Cette rougeur subite me rassura.

  • C'est que je ne suis pas choqué, mais troublé, vous êtes tellement belle, et ce geste est si beau, si …

  • Petit coquin ! On aime vraiment les atours de la féminité alors ! J'en apprendrai tous les jours ! Allez, on est parti !

En marchant dans la rue, je ressentais un grand bien-être. J'aurais du me sentir un peu gêné que l'on puisse s'apercevoir que je portais un collant féminin, mais pas du tout. Le voile collait à ma peau, je sentais les mailles se resserrer et se détendre à chaque pas. Je regardais les femmes en me sentant comme elle. En plus, j'avais l'impression d'être privilégié car j'accompagnais une femme jolie dont je savais qu'elle portait des bas.

Cela me rappelait les regards que je portais dans la rue sur les femmes, me demandant, comme beaucoup d'hommes, si elles portaient des bas ou des collants. Là, pour Sophie, je savais, je me sentais fier d'avoir à mes côtés une femme dont la tenue faisait rêver beaucoup d'hommes. A chaque fois que je m'asseyais, je me surprenais à faire voir ostensiblement mes chevilles.

Comme si je voulais que tout le monde se pose des questions sur mes chaussettes. Je le dis à Sophie pendant le repas. - Et alors ? A votre avis, est-ce que des personnes vous ont remarqué ?

  • Je ne sais pas. En ce moment, je suis persuadé que toutes les femmes autour de nous me regardent.

  • Peut-être, mais je ne pense pas qu'une seule s'imagine que vous portez des collants, après tout, des hommes portent sans problème ce type de chaussettes, c'est d'ailleurs pour cela que vous portez des collants simples. S'ils étaient plus féminins avec des motifs ou une couture derrière, alors là ce ne serait pas pareil. Un homme ne porte pas de chaussettes à couture ou en dentelles, et cela se voit f o r c é m e n t.

  • Cela doit donc être moi qui fait travailler mon imagination.

  • Vous avez vraiment envie que l'on vous remarque, moi je n'en serais pas affectée, au contraire je trouverais cela amusant !

  • Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire.

  • Allons, Laurent. J'avais un peu prévu votre réaction. Si vous le voulez, j'ai avec moi des collants noirs opaques avec un motif à la cheville qui s'enroule le long de la jambe sur quelques centimètres. Si vous en avez envie, vous allez les mettre seul aux toilettes et vous revenez ici. Ensuite, en vous asseyant vous remontez votre pantalon, on verra bien.

Il y avait à côté de nous deux femmes plus âgées que Sophie qui nous regardaient souvent. Sophie était tellement jolie et élégante. Elle me passa le collant discrètement et j'allai l'enfiler. Je découvris que le motif représentait un rosier vert et rouge dont la tige s'enroulait sur le mollet, la première fleur donnait l'impression de sortir de la chaussure pour s'épanouir sur la cheville. C'était magnifique. J'avais envie de porter ce collant et de le montrer pour qu'une femme vienne vers moi me complimenter ou même me traiter de pervers, mais au moins me remarque.

Je revins, rendis à Sophie le collant fin précédent, sans chercher à le cacher (" Tenez, je vous rends votre collant " lui dis-je sans chercher à être trop discret), et découvris franchement ma cheville en remontant mon pantalon. Peu après, Sophie fit un peu de bruit en faisant tomber un couvert. Une de nos voisines se tourna vers nous, je sentis nettement son regard sur mes jambes.

Il lui était difficile de ne pas s'apercevoir de quelque chose. Discrètement, elle attira l'attention de son amie, qui me regarda aussitôt. En face de moi, Sophie souriait " Vous voyez, Laurent ". La première femme se leva et vint vers nous.

  • Excusez mon indiscrétion, mais c'est difficile de ne pas remarquer quelque chose.
  • Que pouvons-nous pour vous, dit très innocemment Sophie.
  • Et bien, enfin, voilà, Monsieur, vous ne porteriez pas des collants par hasard.
  • Que voulez-vous dire, lui répondis-je.
  • Et bien des collants de femme, ce motif à la cheville est si joli.
  • En effet.
  • Je voulais vous dire que cela vous va très bien, vous avez beaucoup de goût. Où l'avez-vous acheté ?

Sophie lui indiqua l'adresse de son magasin et la référence du collant.

  • Ils existent aussi en bas.

  • Vous voulez dire que votre ami porte des bas ?

  • Non, pas aujourd'hui, seulement moi.

  • Moi aussi, j'adore porter des bas d'ailleurs, entre nous j'en porte en ce moment, et j'aimerais tellement que mon mari porte des collant ou des bas, en tout cas toutes mes félicitations à tous les deux. Vous avez bien de la chance de pouvoir en profiter.

" Vous voyez, Laurent, je vous l'avais dit ".

Le repas se termina ainsi. J'étais sur la planète Mars, et Sophie avait l'air heureuse de cet incident. Que se passait-il donc ? Comment une telle jeune femme pouvait se comporter ainsi avec moi, ne pas être choquée par ma tenue et, encore plus, m'y encourager. Que me réservait-elle pour la suite ?

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J'adore,ce n'est pas à moi que cela arriverait..très beau récit j'attends la suite...!
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